This is default featured slide 1 title

Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.This theme is Bloggerized by Lasantha Bandara - Premiumbloggertemplates.com.

This is default featured slide 2 title

Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.This theme is Bloggerized by Lasantha Bandara - Premiumbloggertemplates.com.

This is default featured slide 3 title

Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.This theme is Bloggerized by Lasantha Bandara - Premiumbloggertemplates.com.

This is default featured slide 4 title

Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.This theme is Bloggerized by Lasantha Bandara - Premiumbloggertemplates.com.

This is default featured slide 5 title

Go to Blogger edit html and find these sentences.Now replace these sentences with your own descriptions.This theme is Bloggerized by Lasantha Bandara - Premiumbloggertemplates.com.

Saturday, November 18, 2017

Télécharger le fichier PDF , by Olivier Norek

Télécharger le fichier PDF , by Olivier Norek

De cette manière, vous pouvez être beaucoup mieux d'avoir l'esprit à lire. Les moyens simples pour obtenir, apporter, et profiter de l'analyse de ce livre crée également lors de l'obtention dans les documents doux. En enregistrant dans certains outils, vous avez probablement plus qu'un livre. Donc, assurez-vous que vous téléchargez et installez et prendre du plaisir dans le , By Olivier Norek pour vérifier. Le lien web que nous fournissons va certainement vous aider à manger le meilleur là-bas la publication.

, by Olivier Norek

, by Olivier Norek


, by Olivier Norek


Télécharger le fichier PDF , by Olivier Norek

Ayant à plusieurs reprises supplémentaires et aussi pas de concepts pour faire quelque chose quand des vacances est vraiment sans intérêt. Dans ce temps, vous vous sentirez probablement vraiment que vous êtes brûlé de vos tâches. Aller à l'extérieur ou à traîner avec vos copains pourrait avoir besoin de plus d'argent. Donc, cela est juste pour tenter de fixer au filet et chercher collection de guides. Si vous souhaitez être créé aussi dans vos vacances, vous pouvez utiliser les collections inestimables de publications à vérifier.

Beaucoup d'obligations à cet âge récent besoin du livre non seulement du livre en cours, mais aussi des collections de livres anciens. Pourquoi pas? Nous vous proposons toutes les collections les plus anciennes aux plus récentes livres dans les bibliothèques du monde. Ainsi, il est extrêmement terminé. Quand vous sentez que le livre que vous avez est vraiment livre que vous voulez passer en revue maintenant, il est tellement pleasured. Cependant, nous recommandons vraiment vous revoir , By Olivier Norek pour votre nécessité propre.

Publications sur la vérification ne vous oblige à terminer en une journée. Après votre livre d'analyse actuellement, , By Olivier Norek peut être la publication sélectionnée pour être. Nous suggère en raison de la qualité supérieure de ce livre. Il dispose également quelque chose et différent nouvelle marque. Vous ne pouvez devriez penser de manière significative, mais simplement lire et vous allez certainement voir pourquoi cette publication est beaucoup plus suggéré.

Pourquoi croiraient beaucoup plus? Vérifier une publication ne sera pas investir ou perdre votre temps, vous? Vous pouvez vraiment mettre votre temps à gérer quand et aussi où vous pouvez apprécier la lecture de cette publication. Même si vous avez encore les autres responsabilités ou publications à lire, vous pouvez également faire entre espacés pour tenter une analyse de cette publication. Il permettra d'améliorer vraiment votre esprit et l'idée. Donc, s'il y a un meilleur livre pour examiner, pourquoi ne pas essayer? Permettent d'améliorer votre pensée ainsi que l'expérience de vérifier de nombreux livres des gonzesses.

, by Olivier Norek

Détails sur le produit

Format : Format Kindle

Taille du fichier : 884 KB

Nombre de pages de l'édition imprimée : 363 pages

Editeur : Michel Lafon (18 avril 2013)

Vendu par : Amazon Media EU S.Ã r.l.

Langue : Français

ASIN: B00CA8T0W4

P.when("jQuery", "a-popover", "ready").execute(function ($, popover) {

var $ttsPopover = $('#ttsPop');

popover.create($ttsPopover, {

"closeButton": "false",

"position": "triggerBottom",

"width": "256",

"popoverLabel": "Pop-up Text-to-Speech",

"closeButtonLabel": "Fermer le pop-up Text-to-Speech",

"content": '

' + null + '
'

});

});

P.when("jQuery", "a-popover", "ready").execute(function ($, popover) {

var $xrayPopover = $('#xrayPop_D3193386B34711E9B1557BB2C5279E7E');

popover.create($xrayPopover, {

"closeButton": "false",

"position": "triggerBottom",

"width": "256",

"popoverLabel": "Pop-up X-Ray ",

"closeButtonLabel": "Fermer le pop-up X-Ray",

"content": '

' + "X-Ray n’est pas disponible pour cet article" + '
',

});

});

Word Wise: Non activé

Lecteur d’écran :

Pris en charge

P.when("jQuery", "a-popover", "ready").execute(function ($, popover) {

var $screenReaderPopover = $('#screenReaderPopover');

popover.create($screenReaderPopover, {

"position": "triggerBottom",

"width": "500",

"content": '

' + "Le texte de cet ebook peut être lu par des lecteurs d'écran populaires. Un texte descriptif pour images (connu sous le nom de « texte ALT ») peut être lu à l'aide de l'application Kindle pour PC, si l'éditeur l'a inclus. Si cet ebook contient d'autres types de contenu non textuel (par exemple, des tableaux ou des équations mathématiques), ce contenu ne sera pas lu par les lecteurs d'écran." + '
',

"popoverLabel": "Le texte de cet ebook peut être lu par des lecteurs d'écran populaires. Le texte descriptif pour les images (connu sous le nom de « texte ALT ») peut être lu à l'aide de l'application Kindle pour PC si l'éditeur l'a inclus. Si cet ebook contient d'autres types de contenu non textuels (par exemple, des tableaux ou des équations mathématiques), ce contenu ne peut actuellement pas être lu par les lecteurs d'écran.",

"closeButtonLabel": "Fenêtre contextuelle de fermeture du lecteur d'écran"

});

});

Composition améliorée:

Activé

P.when("jQuery", "a-popover", "ready").execute(function ($, popover) {

var $typesettingPopover = $('#typesettingPopover');

popover.create($typesettingPopover, {

"position": "triggerBottom",

"width": "256",

"content": '

' + "Les améliorations de la composition permettent une lecture plus rapide, réduisent la fatigue oculaire et offrent de belles mises en page, même avec de grandes polices de caractères. En savoir plus" + '
',

"popoverLabel": "",

"closeButtonLabel": ""

});

});

Moyenne des commentaires client :

4.3 étoiles sur 5

208 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

n°87 dans la Boutique Kindle (Voir le Top 100 dans la Boutique Kindle)

Il faut d’abord que je vous avoue une chose : j’ai fait les choses dans le désordre. J’ai lu Surtensions, le dernier roman d’Olivier Norek, avant de lire Code 93. C’est une tendance que je répète, au risque de me perdre dans les événements personnels des personnages. Ici, même si le capitaine Victor Coste n’est pas épargné dans sa vie personnelle, la chronologie n’est pas un élément déterminant pour la compréhension de l’histoire. Coste est la colone vertébrale du récit, mais pas le héros (c’est un point de vue, ne tapez pas). Je sens plus la Ville avec un grand V comme héroïne, parce qu’elle a d’innombrables ramifications : ses secrets, ses perversions, ses quidams qui se croisent au rythme d’un quotidien réglé par un métronome malin, sa violence ordinaire, ses flics, sans oublier leur hiérarchie… Une ville pieuvre aux tentacules empoisonnés mais néanmoins fascinante.Alors c’est quoi, ce code 93 ? Ne comptez pas sur moi pour vous le dire, j’aurais trop peur d’être considérée comme complice, et je me demande d’ailleurs comment Monsieur Norek a fait pour être encore en vie. La révélation n’est pas que dans la plume.Je suis bluffée par la construction du récit. Comme dans Surtensions, ce sont deux affaires qui nous sont livrées, et si l’on comprend bien qu’elles vont s’imbriquer à un moment ou à un autre, les rouages se mettent en place progressivement, portés par des chapitres courts et percutants (les premiers je les ai lus en apnée), jusqu’à ce que l’enquête et les personnages se percutent de plein fouet.Le style n’a pas besoin de fioritures pour être efficace, même si je regrette un peu quelques détails peu ragoutants que j’aurais préféré ne pas visualiser (le problème de ceux qui réalisent dans leur tête le film de ce qu’ils lisent). J’aime cette simplicité dans la plume qui n’empêche pas une évidente efficience. La torture est ailleurs que dans la syntaxe.Il me reste à lire Territoires (déjà dans ma bibliothèque) mais après deux lectures et une rencontre trop courte, je crois pouvoir d’ores et déjà fangirler auprès de cet auteur que je trouve décidément très, très brillant.

On est plongé dans l'ambiance dès le début.Le roman semble transpirer d'une expérience vécue et m'a fait tout de suite penser à un épisode de la série télévisée "engrenages".L'action est rapide, brutale et les personnages survivent dans ce milieu étouffant.J'ai été surpris par la découverte du code 93, qui est peut-être crédible mais surprenant pour le lecteur.Un bon moment de lecture où on tourne les pages pour connaître le dénouement

Le type me ferait presque aimer les polars. Non, pas “presque”, d’ailleurs. Mission accomplie, je me suis totalement laissé embarquer par cette enquête. Et pourtant, ce n’est vraiment pas mon genre de prédilection. Sa recette ? Ben, il écrit bien, tout simplement. Olivier Norek n’a pas volé son succès, et ça fait bien plaisir de constater que le talent peut, de temps en temps, rivaliser avec le seul appareil éditorial.Un style millimétré, sensible et humain, avec de belles phrases fluides et rythmées, jamais un mot qui dépasse, un vocabulaire varié sans trop de fioritures, au service d’une enquête prenante, piquante, aussi bien réaliste que machiavélique.En premier lieu, l’auteur possède un réel don de conteur. Il sait nous immerger dans les pensées et les ressentis de ses personnages. Tout se fait très naturellement, et l’on partage leurs découvertes et leurs choix en se sentant réellement concernés par le déroulement de l’enquête. Il sait de quoi il parle, l’auteur/flic, et cela se sent direct. Certes, il tend parfois vers des description encyclopédiques des procédures, institutions et autres organes internes de la police, mais franchement, si on peut s’instruire tout en lisant, on ne va pas bouder notre plaisir.Les descriptions sont soignées, jamais foisonnantes, mais suffisent à nous faire visualiser les scènes, les lieux, les mouvements... Oui, c’est cela, une écriture très visuelle. Et en matière de scène de crime, croyez bien que ça a son importance. Miam.La façon dont Olivier Norek a articulé son histoire est simple mais intelligente. Ce livre se lit facilement, sans pour autant céder à la facilité. On y trouve une véritable démarche de la part du tueur, un quelque chose de réfléchi qui promet dès le départ de donner du fil à retordre aux enquêteurs. Inutile de m’attarder sur mon affection particulière pour les criminels portés par de hautes valeurs morales. S’intercale ensuite une intrigue parallèle, pour ne pas dire complémentaire, qui va semer la stupeur puis la confusion dans la caboche de ce flic un peu trop carré. La hiérarchie, les enjeux politiques, financiers, les dessous de tapis pas jojo… et les oubliés qui trinquent. Les flics, eux, servent d’amortisseurs entre ces deux réalités, arrondissent les angles qu’ils peuvent, et se prennent les autres en plein dans le pif. Ça, Olivier Norek le décrit parfaitement.Si l’amourette entre le flic et la légiste est vue et revue, celle-ci se fond très bien dans le décor, car l’auteur n’en fait pas des caisses, et les boulets que l’un traîne ancrent la dimension psychologique dans une sincérité puissante. Il y a du vécu là -dedans, beaucoup de vécu.J’ai apprécié aussi le réflexe intuitif qu’a eu l’auteur de nous faire partager l’intrigue de différents points de vue. C’est selon moi l’un des ingrédients indispensables à un bon polar ou thriller. Ainsi, connaître les motivations du tueur est aussi important que la suite d’indices, le fait de cuisiner différents indics, de jouer avec la bêtise de l’un, avec l’ego de l’autre, etc. Les erreurs et la souffrance des victimes jouent elles aussi un rôle majeur dans le succès de ce bouquin. Reste à savoir distiller les bonnes infos au bon moment, et là , on ne prendra pas l’auteur en défaut, il maîtrise sa trame à merveille.En résumé, j’ai d’abord et surtout apprécié la plume d’Olivier Norek pour sa souplesse, sa poésie presque, doublée d’une certaine rugosité. Ensuite est venu le sujet de cette enquête, le plat de résistance, qui porte à réfléchir sur le fonctionnement de hautes instances, sur le raisonnement cupide et grégaire de certains responsables, tout en nous laissant apprécier cette série de meurtre, logique, et finalement très juste.Un excellent moment de lecture. Bravo Monsieur Norek.

Le capitaine Coste et son équipe travaillent pour la brigade criminelle de la Seine-Saint-Denis. Ils sont confrontés quasiment chaque jour à la violence, la délinquance, la misère sociale, dans des contextes sordides de meurtres, de trafic de drogues mais aussi d'humains.Ce matin-là , un corps est retrouvé dans un entrepôt, criblé de 3 balles. La stupéfaction est générale lorsque l'homme se réveille plusieurs heures après au cours de l'autopsie. Ce n'est que le début d'une série de situations invraisemblables qui vont révéler une opération encore plus incroyable : le code 93.L'auteur, lui-même lieutenant de police du SDPJ 93, a l'expérience de ses histoires, pioche dans son expérience les anecdotes si perturbantes car si vraies qui émaillent son récit.Le style est tonique, on est happé tant par l'intrigue que par l'environnement. Les personnages ont une densité palpable et très vite on visualise la situation à travers des séquences de séries policières. Rien de surprenant du reste, Olivier Norek est le scénariste de l'excellente série Engrenages.C'est donc avec beaucoup de plaisir que j'ai découvert cet auteur. Je vais continuer la trilogie initiée par ce titre.

, by Olivier Norek PDF
, by Olivier Norek EPub
, by Olivier Norek Doc
, by Olivier Norek iBooks
, by Olivier Norek rtf
, by Olivier Norek Mobipocket
, by Olivier Norek Kindle

, by Olivier Norek PDF

, by Olivier Norek PDF

, by Olivier Norek PDF
, by Olivier Norek PDF

Monday, November 13, 2017

Télécharger Ebook Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain

Télécharger Ebook Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain

La façon d'obtenir ce livre Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain est assez facile. Vous ne pouviez pas aller pour certains endroits et d' investir le temps de découvrir tout simplement guider Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain En fait, vous ne pouvez pas toujours vous le guide que vous êtes prêt. Mais au- dessous, juste en recherche et trouver aussi Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain, vous pouvez obtenir les listes des livres que vous prévoyez vraiment. Parfois, il y a beaucoup de livres qui ont montré. Ces livres seront naturellement vous étonner que cette compilation Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain.

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain


Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain


Télécharger Ebook Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain

Découvrez le secret pour améliorer le mode de vie en lisant ce Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain Ceci est une sorte de livre que vous avez besoin maintenant. Par ailleurs, il peut être votre livre préféré à lire après avoir cette publication Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain Demandez-vous pourquoi? Eh bien, Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain est une publication qui a diverses notamment avec les autres. Vous ne pourriez pas besoin de savoir qui est l'auteur, exactement connu largement le travail est. Comme mot sensible, ne jamais juger les mots de que les pourparlers, mais faire les mots que votre bonne valeur à votre vie.

En plus de vous recommander un meilleur livre de haute qualité fantastique, vous pouvez choisir Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain Pourquoi nous appelons ce livre pour vous? Nous savons que vous êtes à la recherche dès maintenant pour la publication certifiée se rapportant à ce sujet. Pour cette raison, vous pouvez commencer par obtenir cette publication comme l'une de la publication de lecture choisie. Il n'est pas sur le livre qui est écrit par un auteur vraiment professionnel ou publié par l'auteur incroyablement populaire. Cela a à voir avec un guide qui est préféré un et un impact aussi pour vos besoins.

Connecté à cette situation, vous pouvez vraiment avoir le temps de prendre Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain comme autant que possible. Soyez des gens formidables qui prennent ce livre aussi pour la source. Pour vous assurer d'obtenir cette publication, nous allons certainement montrer comment vous pouvez localiser ainsi que d'obtenir les documents mous ici. Il suffit de respecter le lien que nous vous proposons et vous pouvez directement localiser et faire une offre pour obtenir cette publication. Ceci est choisi seulement pour obtenir ainsi que d'attendre dans certains appareils que vous apportez partout ou dans votre maison ou au bureau.

Après avoir obtenu guide, vous pouvez commencer votre activité à lire, même dans votre temps supplémentaire tous où vous êtes. Vous pouvez comprendre pourquoi nous avons préparé le faire comme conseillé publication pour vous. Ceci est non seulement concernant le sujet approprié pour votre source d'analyse mais en plus le livre préféré avec un contenu de qualité. Donc, il ne fera pas confus de se sentir vraiment soucieux de ne pas obtenir quoi que ce soit de Le Guide Marabout Des Tests, By Anne Bacus Christian Romain

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain

Détails sur le produit

Broché: 375 pages

Editeur : Marabout (15 octobre 2002)

Collection : Jeux

Langue : Français

ISBN-10: 2501038274

ISBN-13: 978-2501038270

Dimensions du produit:

22 x 2,6 x 16,5 cm

Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

2 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

560.536 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Très bon livre avec les bonnes explications. des exercices pas toujours évidents mais des bonnes explications

COMMENT SE CONNAÎTRE SOI-MÊME EN CONNAISSANT LES TESTS.COMMENT SE MESURER ET S'ENTRAÎNER...Tests de QI;tests de sélections;tests de personnalité:chacun un jour ou l'autre sera appelé à passer desv tests dans le cadre d'un recrutement,d'une orientation,d'un bilan.Ce guide rassemble tous ces types de tests !

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain PDF
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain EPub
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain Doc
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain iBooks
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain rtf
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain Mobipocket
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain Kindle

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain PDF

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain PDF

Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain PDF
Le Guide Marabout des tests, by Anne Bacus Christian Romain PDF

Wednesday, November 8, 2017

Ebook gratuit Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel

Ebook gratuit Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel

De cette manière, vous pouvez être beaucoup mieux d'avoir l'esprit de vérifier. Les moyens simples pour obtenir, apporter, et aussi la lecture de cette apprécient la publication est également l'établissement lors de l'obtention dans les documents doux. En enregistrant dans certains outils, vous êtes le plus susceptible d'avoir plus d'une publication. Donc, assurez-vous que vous téléchargez et installez ainsi que apprécier le Etoiles, Planètes Et Constellations, By Michael Vogel pour vérifier. Le lien que nous fournissons va certainement vous aider à manger le livre il y a droit.

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel


Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel


Ebook gratuit Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel

Après avoir découvert Guide droit Etoiles, Planètes Et Constellations, By Michael Vogel dans cet article, vous avez réellement découvert la bonne publication qui peut vous faire sentir complètement satisfait. Cette publication est l'un des choix de publication visées sur la base de la nécessité. Avez-vous vraiment besoin de ce livre en tant que source ainsi que des idées? En prenant cette publication comme l'une des référence peut vous révéler posséder la publication préférée de la vôtre.

La présence de cette nouvelle publication peut être une nouvelle ressource pour vous. Cette publication est vraiment adapté pour accompagner votre temps seul dans le temps libre. Il ne sera pas si satisfaisant en ayant aucune activité dans votre temps libre. Regarder la télévision pourraient apporter. Donc, cela veut dire, l'examen Etoiles, Planètes Et Constellations, By Michael Vogel pourraient vous offrir de nouvelles tâches et aussi vous apporter une nouvelle leçon. Lorsque vous vous sentez si bon avec cette publication, pourquoi ne prenez-vous pas actuellement?

Comme l'autre publication sera certainement fournir, en plus de la leçon de tout nouveau, il renforce aussi l'impression et aussi des inspirations liées à ce sujet. Nous sommes vraiment sûr que votre sélection pour sélectionner la lecture comme la publication sera certainement pas tort. Il pense que l'existence du livre renforcera certainement les collections littéraires de ce globe. Lorsque de nombreuses personnes recherchent ce sujet pour l'analyse de guide, il va certainement devenir celui qui vous influence pour faire des idées flambant neuf.

lis. Pourquoi? Encore une fois, cela est si approprié avec le sujet que vous vraiment besoin actuellement. Il fera certainement aussi votre sélection de la journée pour remplir le temps en lisant ce livre. En outre, il est une sorte de types de fichiers mous, Etoiles, Planètes Et Constellations, By Michael Vogel matériel ne sera certainement pas différentes avec l'impression du livre.

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel

Détails sur le produit

Broché: 256 pages

Editeur : Delachaux (21 novembre 2017)

Collection : Les indispensables

Langue : Français

ISBN-10: 2603025686

ISBN-13: 978-2603025680

Dimensions du produit:

12,1 x 2 x 20 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

4 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

129.533 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Ce petit fascicule "de terrain" (fait partie de la collection "Les Indispensables" de Delachaux... Et il est, effectivement, indispensable.Quelques pages "astro pour tous" présentant les principaux acteurs de la voûte céleste, et la façon dont ils jouent...Puis, le "gros morceau", la présentation, sur une ou deux pages chacune, des 88 constellations (donc, pas seulement celles visibles de l'hémisphère nord) : concis, mais complet, avec les principales étoiles et objets du ciel profond, et une foule d'informations judicieuses. Avec aussi une facilité de navigation presque déconcertante (chaque carte de constellation ciblant ses voisines). Seul regret : il aurait été utile que soient indiquées les dimensions (angulaires) des objets du CP...Enfin, une série de cartes du ciel, mois après mois, décrivant le "paysage céleste" qui s'offre en observant dans la direction de chacun des 4 points cardinaux. Cette partie n'est pas a priori l'intérêt principal de ce livret, mais ces cartes ont le mérite de montrer naturellement ce que l'on voit, sans avoir besoin d'être brandies, telles des parapluies, au dessus de la tête (cf. les "cherche-étoiles" habituels) !Il faut mentionner également le petit lexique et l'index figurant in fine, particulièrement bien venus.Bref, un livret indispensable, qui peut tout autant informer le curieux, initier l'intéressé, faire rêver le "padawan", et accompagner au quotidien le passionné...

Excenlent petit livre que vous aurez avec vous pendant vos observations. Couverture protégé et plastifié qui ne craint pas l'humidité. Pour chaque constellation vous trouverez une liste des principaux objets, étoiles, et étoiles doubles et l'histoire mythologique de constellation.

beau livre sur l'astronomie, les étoiles et les constellations

Je suis passionné d'astronomie et oui j'ai aimé. Le livre est bien présenté, les chapitres sont bien répartis et on arrive facilement à le comprendre

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel PDF
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel EPub
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel Doc
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel iBooks
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel rtf
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel Mobipocket
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel Kindle

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel PDF

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel PDF

Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel PDF
Etoiles, planètes et constellations, by Michael Vogel PDF

Wednesday, November 1, 2017

PDF gratuit Les mythes de la Seconde Guerre mondiale

PDF gratuit Les mythes de la Seconde Guerre mondiale

Localisez vos propres moyens pour remplir votre temps libre. Compte tenu de l'examen d'un livre comme l'une des activités à faire dans le temps libre pourrait être bon. La lecture d'un livre est précieux aussi bien qu'il sera certainement intérêt pour les choses flambant neuf. Vérification, sans prendre en considération que l'activité terne, ne pouvait pas rallier être aussi ce que vous pensez. Oui, l'analyse peut être agréable, l'analyse peut être agréable, et la lecture offrira certainement vous de nouveaux points, plus de points.

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale


Les mythes de la Seconde Guerre mondiale


PDF gratuit Les mythes de la Seconde Guerre mondiale

Se sentir seul? Juste ce que sur la lecture de publications? Livre est parmi les plus grands amis pour accompagner tout votre temps tout seul. Lorsque vous n'avez pas copains ainsi que des tâches quelque part et parfois, l'examen de livre peut être un excellent choix. Ce n'est pas seulement pour investir le temps, il augmentera l'expertise. Il est évident que le b = avantages de prendre certainement se rapporter à exactement quel type de publication que vous avez lu. En plus actuellement, nous allons certainement vous intéresser à tenter de lire Les Mythes De La Seconde Guerre Mondiale comme un des matériaux d'analyse pour finir rapidement.

Tout type de publications que vous consultez, quelle que soit exactement comment vous avez obtenu les phrases qui ont été effectivement lus des guides, sans aucun doute, ils vous fournira la bonté. Et pourtant, nous ne manquerons pas de vous révéler l'une des recommandations du livre que vous devriez examiner. Ce Les Mythes De La Seconde Guerre Mondiale est juste ce que nous impliquons certainement. Nous allons certainement vous montrer les raisons raisonnables que vous avez besoin de lire ce livre. Ce livre est une sorte de publication précieuse composée par un auteur bien informé.

Le Les Mythes De La Seconde Guerre Mondiale va certainement de même plante que vous excellent moyen d'atteindre votre parfaite. Quand il se produit pour vous, vous pouvez l'examiner dans votre temps supplémentaire. Pourquoi ne pas vous essayer? En fait, vous sait pas exactement comment précisément ce livre sera certainement, à moins que vous passez en revue. Bien que vous n'avez pas beaucoup de temps pour terminer rapidement ce livre, en fait n'a pas besoin d'achever rapidement. Choisissez votre précieux temps d'arrêt à utiliser pour lire ce livre.

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale

Détails sur le produit

#detail-bullets .content {

margin: 0.5em 0px 0em 25px !important;

}

Livres audio Audible

Durée : 9 heures et 20 minutes

Type de programme : Livre audio

Version : Version intégrale

Editeur : Lizzie

Date de publication : 7 juin 2018

Langue : Français, Français

ASIN: B07DJPZJ13

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

un livre qui devrait être obligatoire dans tous collèges et lycées : de par son rôle salvateur parce qu'éclairant quant à tous les poncifs répétés sur la 2e guerre mondiale. De plus la forme en est agréable et facilement accessible puisque présentée en chapitres courts et clairs : aucun ennui donc, nous sommes loins des gros bouquins interminables et que j'ai - à chaque fois- beaucoup de mal à terminer .

On croit tout connaitre sur la 2nde guerre mondiale, et finalement, avec ce livre, on en apprend encore ! Une vraie révélation pour moi, je ne peux que le recommander chaudement à tous les fans de la 2nde guerre mondiale.

Livre qui apporte beaucoup de précisions mais qui sera peu intéressant pour les personnes ayant beaucoup lu sur la 2éme Guerre Mondiale

Les mythes de la seconde guerre mondiale tome 2 est un ouvrage fort intéressant pour les passionnés de la seconde guerre mondiale qui maintient un niveau des contributions équivalent au premier tome qui était un excellent ouvrage. Pour autant en ce qui me concerne, je considère que les mythes évoqués ont été tués il y a déjà fort longtemps : toutefois compte tenu de la dégradation de l’enseignement de l’histoire en France il est possible qu’un tel ouvrage soit nécessaire.La contribution de Vincent Bernard traite des mythes héroïques du printemps 1940 avec des chiffres gonflés concernant le nombre de victoires aériennes française et le chiffre colossale des pertes humaines évaluées à 100.000 hommes : les deux ne sont pas de la même nature, le décompte des pertes humaines est un élément qui a été rectifié il y a déjà quelques années par le ministère de la défense via le Service Historique de la Défense (SHD) qui montre que les pertes françaises, hors marine (qui n’a pas combattu) ont été de 58 829 hommes ce qui est déjà très honorable compte tenu de la brièveté et de l’intensité des combats : cette information est disponible sur Internet sur le site du SHD, malheureusement un certain nombre d’hommes sans scrupules continuent à reprendre une estimation comprise entre 90.000 et 100.000 hommes. M Bernard moque aussi le chiffre des fusillés réclamé par le parti communiste 75000 fusillés alors que pour toute la France le nombre des fusillés est de 5000….Par contre la remarque selon laquelle la Wehrmacht a utilisé « seulement » 2574 panzers pour la campagne à l’ouest, alors que les alliés auraient disposé de 3000 chars « modernes généralement mieux armés et protégés » : disons que si l’appréciation du volume est correcte il n’en va pas de même du matériel, même si des chars comme le Pz-1 ou les Pz-2 étaient déjà obsolètes les panzers 3 et 4 firent de l’excellent travail et surtout furent employé avec une doctrine d’emploi qui combinait l’appui aérien, l’appui d’artillerie et le déploiement des chars sur des points à enfoncer. En outre en conclusion de sa contribution l’auteur insiste sur le fait qu’entre 1939 et 1945 200.000 soldats venu de métropole et de l’empire ont donné leur vie sous l’uniforme français : c’est vrai mais on s’éloigne du mythe sans que la parenté intellectuelle soit facile à comprendre, ou plutôt on essaye de gommer l’aspect désastreux d’un mensonge sous le nombre des pertes françaises globales…La contribution de Me Bénédicte Vergez-Chaignon traite du rôle de l’Etat français entre 1940 et 1944 et de son rôle présumé de protection de la France : je précise que les ouvrages de Me Vergez-Chaignon sont assez sévèrement évalués sur le site Amazon alors que techniquement ils sont irréprochables. D’une manière limpide et systématique l’auteure démontre que le régime de Vichy n’a jamais été en mesure de préserver les intérêts français, mais que l’existence même de ce régime autoritaire et antisémite est un traumatisme dans la mémoire française qui font que même certains résistant comme Rémy vont appuyer la thèse du bouclier Pétain et du glaive de Gaulle, thématique qui fut utilisé par Jacques Isorni lors du procès de Philipe Pétain et l’ampleur du traumatisme est tel que certains recherchent toujours des moyens pour surmonter ce dernier en lui trouvant des excuses et en le réhabilitant. La conclusion de Me Vergez-Chaignon est honnête, elle estime que « les gouvernements et les administrations ont à certains moments protégé certains Français, certains territoires, certaines activités économiques ; mais en en délaissant d’autres ou en les réprimant, parfois sous la contrainte, mais aussi par choix idéologique ou tactique ».La contribution de Jean-Christophe Noël porte sur une question que le Dunkerque de Christopher Nolan a ramené sur le devant de la scène historiographique, à savoir la résistance spectaculaire opposée aux hordes hitlériennes par le Royaume-Uni lors de ce qui est devenu la bataille d’Angleterre. Il apporte une réponse négative à la question de savoir si l’Allemagne a été sur le point de remporter la bataille d’Angleterre : c’est une problématique complexe qui est bien traitée, même si un grand nombre de certitudes admissibles facilement par l’historiographie moderne ont sans doute été plus délicates à apprécier à l’époque : au demeurant l’auteur part du constat que l’Air Chieff Marshal Keith a considéré que la Luftwaffe était sur le point de remporter la bataille au début du mois de septembre 1940. L’étude contient une analyse très fine des pertes allemandes et britanniques avec un différentiel très défavorable à l’Allemagne et à sa capacité de remplacer le matériel ; en outre il est vrai qu’Hitler eut toujours une position ambiguë au sujet du Royaume-Uni avec lequel il espéra toujours une paix séparée qui lui eut laissée totalement les mains libres pour se livrer à la colonisation de l’Est. La Luftwaffe elle-même ne fut jamais en mesure de planifier une campagne aérienne décisive et s’est laissée entraîner dans une bataille d’attrition par un adversaire qu’elle ne connaissait pas assez, d’un autre côté l’auteur estime que les aviateurs britanniques commettaient l’excès inverse et surestimaient la Luftwaffe. Cette contribution est assortie d’une très bonne bibliographie.La contribution 4 traite de la puissance de la marine japonaise, avec une analyse de Pierre Grumberg qui est de très bonne qualité qui pat du constat que le super-cuirassé Yamato, qui à l’instar du Bismarck est l’un des fleurons du modélisme, avec une popularité qui ne s’est jamais démentie : grosso modo les deux navires possèdent la même histoire c’est-à -dire un formidable potentiel de combat gaspillé inutilement, ce qui est encore plus vrai pour le Yamato dont les marins sont sacrifié dans des conditions ou le navire n’avais en fait aucun objectif militaire crédible…Dans le cas du Japon l’appréciation de la capacité de la Kaigun (la marine de guerre impériale) est une question complexe dans la mesure ou en 1941 elle est tout de même la 3ème marine de guerre au monde et aligne une flotte étonnement moderne comprenant 10 porte-avions et autant de cuirassés (moins le Yamato et son sistership le Musashi), 18 croiseurs lourds, 20 croiseurs légers, 113 destroyers et 63 sous-marins, l’aéronavale japonaise possède 1750 avions : ce potentiel est tout à fait considérable et on comprend parfaitement que les stratèges japonais aient pu nourrir de grandes espérances pour le théâtre d’opération Pacifique. Bien sûr l’échec de Pearl Harbor à anéantir les porte-avions américains et la contre-performance de Midway ne laissait au Japon aucune chance face à la puissance économique et industrielle des Etats-Unis. L’auteur insiste avec une grande force de conviction et des arguments très solides sur le rôle des opérations conduites dans la mer de Corail comme préalable à l’effondrement de l’aéronavale japonaise.La cinquième contribution rédigée par Jean Lopez et Lasha Othmezuri est relative au rôle de l’hiver russe de 1941 dans l’échec des hordes nazies à prendre Moscou. Il convient de dire que cette explication climatologique de l’échec de l’opération Barbarossa est largement devenue un poncif des livres d’histoires et même des meilleurs en la matière. Il faut bien dire que l’excellente biographie militaire d’Hitler par François Kersaudy dans la collection maître de guerre montre bien la défectuosité chronique de Barbarossa et pointe du doigt le véritable coupable à savoir Hitler lui-même qui confond objectifs tactiques et objectifs stratégiques, sans oublier les objectifs économiques dont l’économie de guerre exsangue du 3ème Reich a en fait terriblement besoin ( voir aussi l’ouvrage remarquable d’Adam Tooze, le salaire de la destruction, formation et ruine de l’économie de guerre nazie). Toutefois, les auteurs rappellent que le 3 octobre 1941, Hitler estime que les pertes subies par l’URSS sont telles qu’il est impossible de s’en remettre, néanmoins sur le terrain les choses progressent moins vite qu’il n’y parait puisque le 2 décembre 1941 une avant-garde de la 2ème division de Panzer parvient bien à 18 km au nord-ouest de Moscou, mais six semaines plus tard le groupe d’armées de von Bock aura reculé de 100 à 150 km sous le choc de la contre-offensive de Joukov : et l’on voit poindre le coupable désigné par Hitler lui-même, le froid exceptionnel de l’hiver russe avec des températures annoncées de -38 à -45° : cette explication est reprise dans les mémoires de tous les anciens généraux de la Wehrmacht, en lui associant bien sûr les fameuses divisions de sibériens. Les auteurs montrent qu’en fait l’hiver 1941-1942 n’était pas exceptionnel et que l’hiver 1939-1940 avec des -30°C à partir du 15 décembre : ces données climatologiques connues tout particulièrement des climatologues de la Luftwaffe n’ont pas été prises en compte pour l’opération Barbarossa parce que l’hypothèse de base était une liquidation de l’Armée Rouge en au plus trois mois et du matériel chaud avait été prévu pour les 60 divisions qui devaient rester à l’Est après la chute de Moscou, mais ce matériel ne fut pas correctement acheminé. Bien sûr en plus de cet affirmation sur la dureté de l’hiver vient celle que cela aurait été favorable à l’armée rouge du fait de « sa civilisation inférieure plus proche de la nature »… Les divisions sibériennes n’ont représenté que 20000 hommes soit 2% des effectifs mis à la disposition du général Joukov. Le froid à lui seul n’explique pas l’échec de l’opération Typhoon, pour son offensive contre Moscou von Bock dispose de trois groupes blindés rassemblant 22 divisions blindées : toutefois dans sa structure la Wehrmacht a été durement éprouvée par les combats qui ont considérablement diminués sa capacité de combat, laquelle est encore affaiblie par une logistique défectueuse : Joukov choisit d’attaquer le 6 décembre 1941 au moment où l’adversaire n’avance plus sans avoir établi des positions défensives .La sixième contribution est de Robert Paxton et s’intéresse au mythe qui veut que le régime de Vichy ait protégé les juifs français en sacrifiant les juifs étrangers : ce texte est probablement une réponse aux travaux d’Alain Michel et à leur exploitation idéologique nauséabonde par Eric Zemmour (la préférence nationale…) : le premier commissaire à la question juive Xavier Vallat plastronnait à la Libération sur le fait que grâce au gouvernement du maréchal 95% des Juifs français étaient encore vivant : Paxton indique que ce raisonnement est imprécis entre 1942 et 1944 un tiers de 76000 juifs déportés étaient des citoyens français et quelques 15% des Juifs français moururent. Robert Paxton démontre a contrario que le régime de Vichy a pris des mesures qui ont globalement affaibli les juifs ; il démontre qu’avant que commencent les déportations en 1942 les juifs de citoyenneté française sont déjà spoliés (l’aryanisation des biens juifs), déracinés et répertoriés dans « d’infâmes fichiers » par conséquent selon Robert Paxton l’affirmation « de la volonté de protection des juifs français dès le début relève du contresens absolu ». La conclusion de Robert Paxton est la suivante « Le nombre des victimes de la shoah en France a été relativement réduit. Mais il aurait pu être moindre encore, proche de la proportion italienne si Vichy n’avait pas aggravé la situation de tous les Juifs vivant en France y compris les citoyens français. Plus de deux ans après avoir imposé des mesures draconiennes contre tous les juifs Vichy a tardivement essayé de freiner l’arrestation et la déportation de ses citoyens.(…) Le constat s’impose donc clairement : Vichy a au total aggravé la situation des vieux juifs français face à la solution finale ». Disons que nous trouvons cette conclusion paradoxale puisqu’elle met en exergue une tentative de sauvetage des juifs français par Vichy, certes de manière tardive, et l’on peut regretter que malgré des informations très précises cette analyse pâtisse surtout d’une volonté de réfutation des thèses d’Alain Michel et se termine par un jugement à l’emporte-pièce un peu éloigné des analyses historiques apaisées qui doivent être la règle.La septième contribution est celle du très efficace Johann Chapoutot sur le thème de l’infaillibilité du Führer comme chef de guerre qui sur un thème éculé qui a déjà brillamment été traité par François Kersaudy dans la collection Maitres de Guerre chez Perrin et qui a montré à quel point Hitler était un amateur doté d’une chance insolente qui s’appuyait sur des connaissances techniques du matériel, mais sans aucune formation militaire dans le domaine tactique ou stratégique. La contribution est dense et très agréable à lire ; elle donne les principales et colossales erreurs d’un chef militaire de pacotille…La contribution 8 est consacrée à une désacralisation du rôle des FTP, elle est rédigée par Franck Liaigre et montre à quel point le rôle des FTP bras armé du PCF donne encore lieu à une sorte de pornographie mémorielle : créé en avril 1942 les FTP aurait possédé une efficacité formidable contre les occupants, or l’utilisation des bilans d’époque permet d’évaluer les pertes humaines subies par l’occupant dans les principales agglomérations de la zone occupée : 75 Allemands ont été tués entre le 15 juin 1941 et le 15 août 1944 : un bilan tout à fait moyen….Toutefois, le succès des FTP a été gonflé en toute impunité et les exagérations reprises par les meilleurs ouvrages d’histoire en raison de l’importance du PCF après-guerre et réussi à faire publier régulièrement une doxa à la gloire du parti notamment par les Editions Sociales ou tous les témoignages de militants et tous les éléments d’histoire du parti sont publié sous le contrôle de l’Institut Maurice Thorez. Les communistes ont toujours eu à cœur de minimiser l’aide reçue des Britanniques ; enfin l’auteur attire l’attention sur les choix contestables du Comité Militaire Nationale (CMN) qui pilote l’action des FTP, ceux-ci s’en prenaient de plus en plus à des « collabos » parfois sur la base de simples rumeurs auquel s’ajoute le braquage de mairies de perceptions et dès lors les FTP vont multiplier les actions vengeresses et lucratives : le bilan donné par Franck Liaigre, pour 75 Allemands exécutés, les FTP et la résistance (toutes familles confondues) assassinent 83 français en région parisienne entre juin 1941 et la mi-août 1944 : ce bilan est édifiant et correspond à une sorte de guerre civile franco-française. Et il faut bien se souvenir du fait que les communistes n’ont rejoint la résistance qu’après le déclenchement de l’opération Barbarossa contre l’URSS. Sordide.La contribution 9 est due à Lasha Otkhmezuri et Jean Lopez et questionne la pertinence de savoir si Stalingrad est bien le tournant de la seconde guerre mondiale. L’approche est très mesurée et très factuelle, elle constate que l’Armée Rouge remporte une grande victoire à Stalingrad, mais la planification militaire soviétique prévoyait que l’opération Uranus qui était l’encerclement et le destruction de la VIème armée de Paulus devait être complété par trois opérations majeures : Saturne qui était une marche sur Rostov, Mars qui devait être la liquidation du saillant de Rjev et Jupiter qui devait entraîner la destruction la destruction du groupe d’armée centre devant Smolensk. Toutes ses opérations se soldent par des échecs qui vont être aggravé par la formidable pugnacité de von Manstein qui parvient à extraire la 1er armée de Panzers du Caucase et à lui faire parcourir 600 km jusqu’en Ukraine et parvient à concentrer au bon endroit et au bon moment les troupes en retraite et les renforts venant du Reich et le 19 février 1943 il parvient par une suite de frappes à briser les pointes des fronts de Voronej et du Sud-Ouest et cause 70000 pertes définitives il reprend Kharkov et renvoie l’adversaire 200 km vers l’est sur la ligne Miouz-Kharkov. L’ensemble de ses données aux termes desquels la Wehrmacht a repris l’initiative voir l’ascendant sur l’armée rouge n’entraîne pas de triomphalisme de la part de la direction soviétique sur la question de Stalingrad. Les pertes de Stalingrad représentent 160000 hommes tombés sur la Volga soit 5,8% des tués comptabilisé face à l’armée rouge jusqu’à la fin 1944 : la conclusion des auteurs est la suivante, la défaite de Stalingrad n’est pas une saignée insurmontable pour la Wehrmacht, mais elle vient aggraver un processus d’attrition qui ronge les effectifs de l’armée de terre depuis le début de l’opération Barbarossa, et en outre au sein de l’Axe elle ouvre une période de crise entre Berlin, Budapest, Bucarest et Rome : Mussolini presse Hitler d’entreprendre des négociations avec Staline, tandis que les Finlandais, les Hongrois et les Roumains prennent déjà contact avec les anglo-américains, plus grave sans doute en avril 1943 les soviétiques accordent un visa de transit à une délégation nipponne en route pour Berlin pour convaincre Hitler de négocier avec Staline : le refus d’Hitler amène le Japon à se replier sur sa sphère de coprospérité asiatique. Pour les auteurs si Stalingrad est bien une blessure qui s’aggrave après la capitulation de Tunis en mai 1943, avec un « décès » après le double échec en juillet 1943 de l’offensive de Koursk et de la défense de la Sicile face aux anglo-américains. La démonstration est bonne, toutefois si l’on se réfère à l’ouvrage précité d’Adam Tooze, l’économie de guerre du Reich est belle et bien entraînée dans une course d’attrition mortelle aggravée par la sophistication accordée au matériel avec les chars Tigre et Panther dont la présence ne sera nullement dirimante lors de l’opération de Koursk : dans ce contexte la bataille de Stalingrad a joué un simple rôle d’accélérateur qui met un terme à des ambitions militaires délirantes appuyées sur des ressources et des capacités économiques insuffisantes…La contribution 10 est rédigée par Davide Rodogno et traite des Italiens dont la gentillesse est assez fortement remise en cause (ce travail s’inscrit d’ailleurs dans la continuité d’un chapitre du tome 1 qui avait déjà démontré que les soldats italiens pouvaient se mal conduire…ce qui n’est pas une grande surprise en temps de guerre) ; il va de soi que les Italiens furent perçus comme de gentils occupant par rapport à la soldatesque hitlérienne et que par conséquent on devine d’emblée que tout est relatif. Cela doit être apprécié au regard des annexions opérées par l’Italie fasciste entre 1940 et 1943 et il semble que la manière dont les occupations se sont achevées joue un rôle déterminant dans la manière dont les populations occupées et les chercheurs des pays concernés. L’auteur indique que le mythe des Italiens « gentils occupants » est le corollaire d’un mythe plus général qui est celui de l’Italiani brava gente : l’étude des différentes zones occupées en Europe montre que l’occupation italienne ne fut pas sans conséquence pour les populations et que finalement les italiens furent des occupants antisémites, même si cela est plus tardif que dans le cas de l’Allemagne et des colonisateurs racistes (ce qui est en principe le cas de tous les colonisateurs qui ont vocation à apporter la civilisation à « des peuples inférieurs » selon le mot de Jules Ferry au sujet de l’Annam et du Tonkin…). Le mythe du bon italien trouve son pendant dans celui du mauvais allemand et des chercheurs prestigieux ont cautionné se dérapage de Hanna Arendt à Arno Mayer en passant par Raul Hilberg pour montrer que même à l’intérieur d’un axe du mal l’humanité pouvait subsister. Les conditions très particulière de la destitution de Mussolini et de la fin du régime fasciste en 1943 a été propice à la création d’une mémoire « mythique auto-absolutoire et autorassurante des 20 années du régime qui dépendait d’une comparaison permanente avec le nazisme ». Ce récit fut conforté par la propagande anglo-américaine qui travaillait à dissocier totalement l’Italie de l’Allemagne nazie. Comme l’explique magistralement l’auteur ce qui pose problème n’est pas la création du mythe, ni l’explication de sa genèse, mais son entretien par des chercheurs.La contribution 11 est rédigée par Régis Schagdenhauffen et traite de la déportation des homosexuels d’Europe : la singularité de ce processus a été tardivement reconnue commence seulement à partir des années 1970 en raison de mouvements favorables à la reconnaissance des gays et des lesbiennes et trouve finalement une situation normalisée dans les années 2000 avec la fin des réticences à reconnaître la réalité d’une persécution fondée sur l’identité sexuelle. Avec une rare honnêteté, qui force le respect l’auteur indique dans la seconde page de son texte qu’il faut évacuer deux idées fausses : les homosexuels n’ont pas fait l’objet d’une politique d’extermination ni d’un génocide et seul l’espace pangermanique est concerné par la pénalisation des relations homosexuelles entre hommes et de manière bien moindre entre femmes. Le bilan de la politique nazie à l’encontre des homosexuels correspond entre 1933 et 1945 à 50000 condamnations pour homosexualité et à l’enfermement de 5000 à 10000 personnes dans des camps de concentration. A Buchenwald les homosexuels étaient soumis aux traitements les plus dégradants comme des thérapies hormonales, voire purement et simplement castrés…Ils portaient bien le fameux triangle rose signe d’une sexualité déviante. La conclusion de l’auteur est que le mythe de la déportation de tous les homosexuels durant la seconde guerre mondiale n’a plus lieu d’être. Il n’en demeure pas moins vrai que la reconnaissance des souffrances endurées n’a été possible que sous l’action d’organisation de défense des homosexuels et LGBT. C’est seulement en 2005 que la France a reconnu que des homosexuels provenant des territoires annexés par l’Allemagne avaient été persécutés et déportés.Dans la 12ème contribution Pierre Grumberg traite de la bataille de Midway dans le prolongement de sa première contribution à l’étude de la puissance de la marine militaire japonaise : Midway est considérée comme un tournant de la guerre dans le Pacifique au cours duquel la marine japonaise perd quatre de ses six porte-avions qui constitue l’essentiel de sa force de frappe. Pierre Grumberg défend l’opinion selon laquelle Midway n’est pas un évènement qui marque un tournant dans la mesure ou la victoire de l’amiral Naguma n’aurait offert à son pays aucune perspective de victoire à long terme contre les Etats-Unis. L’auteur émet l’hypothèse que l’échec japonais trouve son origine dans une stratégie défaillante en mer de Corail et considère que la bataille de la mer de Corail comme un coup d’arrêt à l’expansion japonaise. Pour Pierre Grumberg il ne faut en aucun cas séparer la bataille de la mer de Corail de celle de Midway qui sont les deux phases d’un même combat. L’analyse est passionnante et bien argumentée.La contribution 13 de Marc Pernoud met à mal l’idée d’une Suisse neutre, mais ici on n’est pas du tout dans le domaine du mythe et l’on sait que l’arme la plus puissante de la Suisse était le crédit et le secret bancaire et que ce soit disant pays neutre était aussi compromis que possible auprès du IIIème Reich avec un octroi massif de crédits, à peine supérieur au montant accordé aux Alliés. L’article est bien documenté et bien écrit, mais n’apporte rien de nouveau sur le fond.Je n’ai pas du tout apprécié la contribution 14 de Nicolas Aubin qui vise à flinguer la réputation professionnel du général Patton : c’est le genre de texte à la mode. Si les travers du personnage sont bien connus il n’est pas normal de prétendre qu’il fut un mauvais général et il est préférable pour le lecteur de se reporter à l’ouvrage de Yannis Kadari dans la collection Maître de guerre, toujours chez Perrin dont l’appréciation est tout de même plus modérée sans être pour autant un texte de flagornerie. Patton est un personnage atypique avec des foucades et des sauts d’humeurs qui lui grandement porté préjudice, en revanche au moins sur le plan tactique il demeure un excellent général, doublé certes d’un terrible caractériel…La contribution 15 d’Eric Jennings au sujet de la localisation de la France Libre à Carlton Gardens à Londres vient apporter non pas un élément de démystification mais plutôt de précision, qui est bien connu des spécialistes et des passionnés : à savoir que la France Libre ne put exister militairement qu’à partir du ralliement progressif des territoires coloniaux et tout particulièrement de l’Afrique (mais aussi de l’Océanie avec les Nouvelles-Hébrides et Tahiti). Les faits d’armes qui ont « lancé » la France Libre et ont fait d’elle la France combattante sont Koufra (295 africains pour 101 européens), le Fezzan (2700 Africains pour 550 européens) cet ensemble conduisit De Gaulle appuyé par des juristes comme René Cassin à créer ex nihilo nihil en octobre 1940 en terre française à Brazzaville des institutions visant à établir « que la continuité étatique avait migré des bords de la Sein vers les Berges du Congo ». La conclusion de l’auteur est que « la France libre fut avant tout une vague partant de l’Afrique, puis du Pacifique, vers l’Europe » ce constat a été rarement reconnu car il résulte d’une dissimulation mémoriel de l’évènement avec deux « blanchiment », le premier en 1943 avec le remplacement des unités issues de l’AEF et du Cameroun par des troupes issues du Maghreb, puis en 1944, un second processus au cours duquel les FFI remplacèrent les coloniaux…Une excellente contribution qui rétablit une vérité qui semble toujours beaucoup déranger en 2017.La contribution 16 de Christian Delporte montre que la propagande n’a pas joué un rôle déterminant pendant la seconde guerre mondiale : cette contribution est bien écrite et bien argumenté, mais de nombreuses études ont déjà été rédigées sur cette propagande en temps de guerre et je conteste que l’on soit en présence d’un mythe : les limites évidentes de cette propagande ont été largement démontrées.La contribution 17 de Christian Destremau tend à démontrer que le monde Arabe n’a pas souhaité la victoire du Reich : c’est une réponse inexacte à une question fausse puisque jamais le grand muphti de Jérusalem Al Husseini n’a représenté le monde Arabe dans sa complexité. Toutefois, ces données sont assez bien connues, Christian Destremau prêtant démontrer l’absence de collusion idéologique entre les nazis et les Arabes et s’en prend violemment à l’ouvrage de Jeffrey Hersch sur la propagande allemande en direction du Moyen-Orient, or Hersch montrait simplement l’importance de cette propagande conçue par les nazis avec l’aide du grand Muphti de Jérusalem Al-Husseini, il n’a jamais conclu à l’efficacité de cette propagande auprès des populations Arabes qui avaient bien d’autres soucis… Par contre, Hersch a démontré qu’il y eu un transfert de culture antisémite à partir de la propagande antijuive et que ce transfert s’est retrouvé au sein de la doctrine des frères musulmans en Egypte. Vous pourrez en avoir une première idée en lisant la recension que j’ai fait sur ce site de l’ouvrage de Jeffrey Herf (l’exposé est strictement factuel). M Destremau a caricaturé d’une manière odieuse les travaux de Herf en indiquant que pour cet auteur tous les Arabes étaient des sympathisants de l’Allemagne nazie. Une fois ce postulat posé, Christian Destremau a toute latitude à rétablir une réalité plus nuancée (qui n’avait jamais été mise en cause par les auteurs dont il prétend réfuter les travaux).La contribution 18 de Philipe Buton qui vise à montrer qu’il existe un mythe sur l’absence de volonté de prise de pouvoir par le PCF au lendemain de la guerre porte à sourire : toute personne ayant suivi il y a plus de 30 ans un cursus scolaire normal allant au moins jusqu’en terminal sait par ses cours que le PCF suscita des grèves insurrectionnelles violentes en 1947 qui furent durement réprimé par le ministre de l’intérieur Jules Moch qui étaient membre de la SFIO (ancêtre du PS). Par ailleurs, des hommes aussi remarquables que Frédérique Joliot-Curie allaient conduire des actions de sape, avec l’appel de Stockholm visant à l’interdiction des armes nucléaires : l’action de Joliot-Curie visait surtout à saper les efforts militaires naissant au sein du CEA et ce misérable fut récipiendaire du prix Joseph Staline pour la paix internationale (qui dit mieux…). Le PCF jusqu’à la fin de l’URSS a été un instrument de Moscou au sein de la politique française.La contribution 19 de Benoist Bihan veut tordre le cou à l’idée selon laquelle l’Armée Rouge l’a emporté uniquement grâce au nombre : effectivement un tel raisonnement est condamnable, et finalement c’est la disponibilité d’un meilleur matériel et d’une meilleure stratégie qui a permis le succès final sur les hordes hitlériennes. Toutefois, les pertes monstrueuses causées par la Wehrmacht montrent tout de même que l’URSS disposait d’une capacité bien supérieure à l’Allemagne pour remplacer ses pertes et en outre la direction soviétique était totalement indifférente aux pertes humaines que pouvaient encaisser les soldats soviétiques. Il existe un remarquable ouvrage intitulé « Vie et mort des soldats de l’Armée Rouge » qui montre bien à quel point ces hommes étaient brutalisés et considérés comme moins que rien par leurs propres dirigeants.La contribution 20 est consacré aux bombardements les plus meurtriers du Japon qui ne sont pas bien sûr pas Hiroshima et Nagasaki, mais ont été causés par des bombes au napalm : toutefois ce raisonnement est biaisé dans la mesure ou la capacité des armes nucléaires, pour l’explosion d’une seule arme, est de causer des dommages considérables et encore les armes utilisées par les Etats-Unis étaient des armes rustiques fournissant une énergie limitée, aucun système au napalm ou au phosphore blanc n’est en mesure de causer les dommages d’une arme dont l’énergie est comprise entre 50 et 150 kt.

Les auteurs tentent de répondre à différentes questions ou de contester certains des mythes de la seconde guerre mondiale un livre très intéressant pour ceux qui ont déjà une vision d'ensemble et des idées sur le sujet.

Livre arrivé rapidement, parfait état. Le contenu est à la hauteur du premier volet, très intéressant.

On apprend beaucoup de choses insoupçonnées sur la seconde guerre mondiale.

Superbe livre. De bonnes anecdotes méconnues.Le livre est très intéressant et se lit facilement.Reçu dans les temps et en bon état.

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale PDF
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale EPub
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale Doc
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale iBooks
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale rtf
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale Mobipocket
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale Kindle

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale PDF

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale PDF

Les mythes de la Seconde Guerre mondiale PDF
Les mythes de la Seconde Guerre mondiale PDF